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Nom du blog :
affairerieux
Description du blog :
Site dédié au combat des parents de J.Michel pour faire reconnaître son harcèlement moral au travail
Catégorie :
Blog Société
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03.03.2011
Dernière mise à jour :
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"Je ne craquerai pas"

"Je ne craquerai pas"

Publié le 03/03/2011 à 21:57 par affairerieux Tags : justice lettre président
"Je ne craquerai pas"

Monsieur le Président de la chambre de l’instruction,

2ème LETTRE OUVERTE

 

Le 1er septembre 2010, la Cour de cassation cassait la « pirouette » d’irrecevabilité par laquelle la Cour d’appel de Montpellier avait tenté, le 30 juin 2009, d’éluder sans examen du fond notre réfutation du non lieu prononcé par Mme la Juge Galix le 26 janvier 2009.

La haute cour déférait dès lors notre recours devant la Chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Nîmes qui l’examinait en audience du 20 octobre 2010 sous votre présidence.

Nos droits de victimes rétablis, mon épouse et moi retrouvions espoir dans la Justice.

                                                     

Dans le mémoire déposé à cet effet, étayé par 116 pièces jointes, Maître Gauer vous listait tous éléments démontrant 7 ans d’erreurs, d’omissions et les manquements manifestes dans ce non lieu querellé à la règle du contradictoire -qui fonde toute instruction pénale-.

La pièce 114, lettre ouverte qu’il vous adressait à notre demande expresse, dévoilait le processus d’omerta initié dès le jour du drame par le DGS Jean Pierre Galan, omerta relayée par Mme la Juge Galix qui, dès sa venue de Perpignan à Béziers fin 2006, figeait l’instruction,

 

-               sur la prise en compte des seuls dires d’un panel -trié- d’agents subordonnés et redevables,

-               sur l’exclusion systématique par le juge instructeur de nombreux autres témoignages d’agents courageux, d’amis de Jean Michel Rieux, tous favorables à ce dernier,

-               sur l’audition mensongère le 19 octobre 2007 du « témoin assisté » (sic) Jean Pierre Galan

-               sur les documents fallacieux que ce dernier avait exhumés après les avoir cachés durant 5 ans, gobés sans examen contradictoire malgré nos 2 LR/AR adressées au juge instructeur,

-               sur les refus d’audition de témoins capitaux, dont Mr Blaisot, Président du MRAP, le Dr Delhon médecin du travail dont les avis étaient «  inversés » et les témoignages ignorés,

-               sur l’ « évacuation » du contrôle médical patronal en suspicion du 17/02/2003 sans même auditionner le Dr Dubourdieu dont l’avis fatal de reprise, commandité puis illégalement « exploité » par les services de JP Galan, a directement conduit au drame. Etc…

 

En conclusion de cette lettre ouverte du 19 octobre 2010, nous vous précisions :

 

«  Le parti pris du camouflage de l’accident psychiatrique (Le suicide altruiste de JM Rieux)  provoqué par Jean Pierre Galan au terme d’un processus comparable en tous points à une interminable séance de torture mentale…a engendré (après drame)un empilement… de dysfonctionnementsadministratifs, médicaux, judiciaires dont chaque nouveau tend à camoufler le précédent et qui ne pourra définitivement s’évacuer qu’avec la reconnaissance de la vérité, sans laquelle il ne pourra jamais y avoir ni Paix, ni Justice, ni Deuil.

 

Et nous ajoutions à votre adresse : « Fidèles jusqu’au bout à notre indéfectible respect du Droit (8 ans de procédures !)nous avons rédigé cette lettre ouverte que nous demandons à notre avocat de faire parvenir aux magistrats de la Chambre de l’Instruction de Nîmes.

 Elle sera diffusée largement, pour qu’exigence citoyenne de transparence et Justice équitable pour tous se rejoignent.».

 

Dans ce délibéré prononcé à notre insu le 10 décembre 2010, vous aviez le CHOIX :

 

-                    Soit d’administrer la justice en ordonnant l’ouverture d’un procès équitable, ou, a minima, la réouverture de l’instruction Galix, manifestement « truquée ».

            

-                    Soit d’ajouter un énième dysfonctionnement en confirmant cette instruction truquée, apposant ainsi votre propre paraphe sur l’omerta que nous dénonçons.

 

Pourquoi avoir choisi ce déni de justice qui balaie pièces et témoignages accablants pour ne retenir que les éléments irréguliers qui fondent le non lieu Galix, sans les soumettre à la plus élémentaire vérification contradictoire ?

 

Est-ce là, travail de magistrat impartial ?

Ou de « faussaire » censé rendre un arrêt de complaisance à motivation politiquemanifeste ?

 

Motif politique dévoilé en audience à Nîmes le 20 octobre 2010 par l’avocat du DGS à la mairie de Béziers…dans la posture du « pyromane qui crie au feu» … qui ose sans honte nous accuser, là, d’« exploiter » nos 4 morts pour attaquer le « système Couderc »…

 Alors que son client, JP Galan, pivot de ce système et de ses puissants réseaux, fait feu depuis 8 ans de tous moyens pour éluder la tenue d’un procès public, seul à même d’avérer ses agissements hiérarchiques pervers en Mairie de Béziers ayant conduit à un tel gâchis !

 

Par réquisitoire lapidaire du substitut général, le Ministère Public a montré comment « évacuer » cette affaire brûlante : « Mission » accomplie Mesdames et Monsieur les Juges !

Mais la motivation qui fonde votre arrêt de non lieu franchit le seuil de l’innommable,

 

 Ecrire, « Les troubles psychologiques avérés (les médecins n’en signalent aucun !) que JM Rieux a développé en 2002, début 2003 trouvent leur origine dans des facteurs personnels(lesquels ?) et un profond malaise existentiel (totalement faux !) et ne sauraient être imputés à un harcèlement moral qui n’est pas établi (car l’instruction a été habilement bricolée dans ce sens !) », revient à salir et à culpabiliser la victime décédée, stoppant net toutes investigations sur les agissements mortifères de son bourreau et ôtant ainsi tout espoir à la vérité de se manifester lors d’un procès qui respecterait la présomption d’innocence du mis en cause et notre droit de victimes.

 

Pour fonder votre non lieu, vous propagez la plus odieuse des calomnies !

 

INJUSTICE concertée qui a sévi ensuite à Montpellier le 18 janvier 2011 où cet arrêt, prononcé 38 jours plus tôt à notre insu, nous a été signifié -par voie d’huissier !- au moment mêmeoù, devant nous et les Juges administratifs, l’avocat adverse le brandissait, avouant le détenir pour sa part depuis un mois, aux fins d’évacuer en tir groupé les autres dossiers Rieux. 

Penauds mais obéissants, ces juges aussi s’exécuteront sans surprise (arrêts du 2 février 2011).

 

        Une telle carence de l’institution judiciaire nous interdit toute paix et tout deuil. Alors :  -    Notre droit de victimes ayants droit est de saisir à nouveau la Cour de Cassation,

                         - Notre devoir de citoyens est d’alerter l’opinion sur cet abject déni de « Justice ».

 

Vous informant du large écho qui sera fait à la dénonciation publique de cet outragequi entache la noble mission que le peuple français confie à ses juges, je vous prie d’agréer Mesdames et Monsieur les Juges, l’expression de ma foi inébranlable en une justice véritable.

 

 

                                                         Gérard Rieux